D’après une information diffusée mardi 15 janvier par le journal Times of India, SpiceJet serait en discussions avec des compagnies étrangères afin de céder des parts de son capital. Si la compagnie indienne a par la suite déclaré qu’il était trop tôt pour commenter au sujet d’une éventuelle vente de parts à un investisseur, elle n’a pas nié son intérêt pour des investissements étrangers.
Sans qu’un rapprochement certain puisse être directement fait avec le cas de SpiceJet, le CEO de Qatar Airways, Akbar Al Baker, a déclaré auprès de Bloomberg hier qu’un investissement de sa compagnie dans un transporteur indien pourrait se réaliser dans la mesure où les régulations et les lois en Inde se montrent durablement libéralisées.
Depuis le 14 septembre 2012 seulement, le gouvernement indien autorise les investissements étrangers dans les compagnies indiennes à hauteur de 49% maximum du capital. Un changement qui entraîne un...
Il vous reste
44%
de l'article à lire
L'accès à la totalité de cet article est réservé aux abonnés.
