C'est un vrai sujet d'inquiétude pour les compagnies aériennes du monde occidental et la tendance est logiquement en train d'empirer. L'interdiction de survoler la Russie implique des temps de vol plus longs, synonyme de consommation de carburant plus importante et d'augmentation des coûts. Mais avec la reprise du trafic et l'augmentation du nombre de vols concernés, une vraie distorsion de concurrence est en train de se cristalliser avec les compagnies aériennes qui ne sont pas touchées par les sanctions russes, à commencer par les compagnies chinoises.
Cette distorsion de concurrence était d'ailleurs déjà particulièrement bien visible dans le secteur du cargo entre l'Asie du Nord et l'Europe depuis tout juste un an, le trafic passager étant encore très loin de son niveau pré-pandémique sur ce type de liaisons. Willie Walsh, le directeur général de l'IATA avait pourtant déjà prévenu, tout comme Ben Smith, le patron du groupe Air France-KLM,...
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