« La pandémie est un pépin », selon Tim Clark. Un pépin « particulièrement sévère » mais dont l'industrie du transport aérien devrait se remettre, estime le président d'Emirates. En attendant que la demande pour les voyages revienne, le groupe s'attache à capturer l'attractivité de l'activité cargo et n'oublie pas d'entretenir son image de marque.
Actuellement, l'essentiel des recettes engrangées par les compagnies aériennes concerne en effet l'activité cargo, et Emirates ne fait pas exception. Tim Clark explique que les destinations qui ont été rouvertes (environ 80) ont d'abord été choisies en fonction de la demande pour le transport de fret. « Le chiffre d'affaires que nous faisons dans le cargo est important. Non seulement il nous permet de couvrir les coûts opérationnels mais il nous permet de faire des bénéfices. Cela réduit beaucoup la crise de trésorerie à laquelle fait face l'ensemble de notre activité. »
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