Groupe ADP a décidé d'engager des négociations avec les syndicats pour s'adapter à une activité réduite dans les prochaines années en raison de la crise due au coronavirus, avec pour objectif d'éviter tout départ contraint.Le groupe gestionnaire des aéroports parisiens, qui suivait jusqu'ici "un modèle d'accompagnement de la croissance", va désormais devoir passer "à un modèle de gestion d'une situation dans laquelle les activités et les investissements seront réduits" en raison de la lenteur de la reprise du trafic aérien, a-t-il constaté dans un communiqué."A l'occasion d'un comité social d'entreprise extraordinaire qui s'est tenu le 9 juillet, il a été proposé aux représentants des salariés d'engager des négociations en vue d'adapter le modèle économique et social de la maison-mère ADP SA", qui emploie près de 6.300 personnes, a affirmé Groupe ADP, dont l'État est l'actionnaire majoritaire.Direction et syndicats s'apprêtent donc à négocier un accord d'activité partielle de longue durée...
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