L’Inde pourrait se prononcer dès demain, le 12 avril, sur l’ouverture du capital des compagnies indiennes aux compagnies étrangères.
Actuellement, les transporteurs d’autres pays n’ont pas le droit de détenir une participation dans les compagnies nationales – les investissements étrangers sont toutefois autorisés à hauteur de 49%.
Une décision positive pourrait les aider à redresser leurs comptes, minés par le prix du carburant, l’importance des taxes et une concurrence très rude. Cinq des six principales compagnies sont en effet déficitaires.
Kingfisher attend notamment cette décision avec impatience : elle a déclaré que plusieurs compagnies étaient intéressées par une prise de participation et n’attendaient que le feu vert du gouvernement.