En bonne place dans le palmarès des pays figurant sur la liste noire de l’aviation élaborée par l’Europe, la Guinée Equatoriale purge son ciel des appareils sans âge et mal entretenus qui le sillonnent. C’est dans cette optique que le gouvernement équato-guinéen a signé son premier contrat avec ATR le 17 mai pour l’achat de trois ATR de nouvelle génération.
Le contrat, estimé à 50 millions de dollars, porte sur un ATR 42-500 et deux ATR 72-500, la version allongée de l’appareil. L'avionneur franco-italien devrait les livrer au gouvernement dans les deux prochaines années.
Selon les déclarations du Président de Guinée Equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, les trois ATR sont destinés à la compagnie nationale du pays, EGA (Ecuato Guineana de Aviación).
ATR renforce ainsi sa présence en Afrique, où 17 pays exploitent déjà des appareils issus des usines de Toulouse. Lorsqu’elle recevra les siens, EGA...
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