Neil Mills, le CEO de SpiceJet, a indiqué le 18 avril qu’il avait été contacté par plusieurs compagnies du Moyen-Orient et d’Asie du Sud-Est, intéressées pour investir dans la low-cost.
Il a cependant précisé qu’aucune négociation sérieuse ne serait entreprise tant que le gouvernement indien n’aurait pas donné son autorisation aux compagnies étrangères d’investir dans les transporteurs indiens.
Une décision sur la question est imminente.
Emirates a déjà annoncé, plus tôt dans la semaine, qu’elle était prête à racheter des compagnies et n’a pas exclu celles d’Inde.