En grande difficulté, Corsair aurait trouvé les 30 millions d’euros de financement qui étaient nécessaires pour qu’elle puisse poursuivre son activité.
« Corsair confirme avoir reçu une lettre d’offre ferme pour un apport de fonds propres de 30 millions d’euros de la part de certains de ses actionnaires existants, du département de la Guadeloupe et de la République du Congo », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
L’offre reste dépendante de son approbation par l’Etat français (principal créancier de la compagnie) et des autorisations réglementaires.
Selon les informations du journal Le Monde, Corsair demanderait également une restructuration voire un effacement de sa dette auprès de l’Etat.