L'OTAN se préoccupe de l'avenir de la patrouille maritime et des missions ISR et de lutte anti-sous-marine et donc à cherche à fédérer les pays avec l'objectif de garantir « un meilleur retour sur investissement, ainsi que des gains opérationnels ». Le Canada et la Pologne ont officiellement intégré le 15 février dernier l'initiative otanienne visant à développer « des solutions de remplacement pour les aéronefs maritimes de lutte anti-sous-marine et de renseignement, de surveillance et de reconnaissance vieillissants ».
Les deux pays rejoignent ainsi l'Allemagne, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Italie et la Turquie, qui avaient signé en juin dernier une lettre d'intention en vue d'une coopération multinationale dans le domaine des aéronefs maritimes multimissions.
L'initiative « offre aux participants la possibilité d'adopter des solutions communes dans ce domaine capacitaire critique », indique l'OTAN dans un communiqué, précisant que la définition des besoins communs en la matière...
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