Chez Dassault Aviation, le maître mot actuel semble être « espoir ». L’avionneur français a en effet aligné un certain nombre de fois ce mot et ses différentes déclinaisons en marge de la présentation des résultats semestriels ce matin, en parlant des chances du Rafale à l’exportation. Et même si aucun contrat n’est signé, Eric Trappier, le PDG, reste résolument confiant dans les capacités d’export du chasseur – même là où les dossiers semblent actuellement en stand-by.
En Inde tout d’abord, le marché qui semble le mieux engagé pour l’instant, Eric Trappier espère toujours une signature avant la fin 2013 : « On peut avoir de bonnes nouvelles d’ici la fin de l’année » a-t-il laissé entendre. Il a rappelé que les négociations prenaient du temps, certes, mais que c’était tout à fait « normal ». Une cinquantaine de salariés font actuellement des allers-retours entre la France et l’Inde...
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