La DGAC est montée au créneau pour défendre ses contrôleurs aériens. La profession a en effet été mise en cause par Le Figaro dans son édition du 23 septembre, le quotidien les ayant accusés de mettre en péril la sécurité des opérations en arrangeant illégalement leurs journées de travail, ce qui les conduit à travailler régulièrement en sous-effectif. Le ministre des Transports Dominique Bussereau a immédiatement demandé un rapport sur la situation décrite et les incidents relatés, qui lui a été remis le 24 septembre par le directeur de la DGAC Patrick Gandil.
Dans son article, Le Figaro met en cause le système de clairance, qui permettrait aux contrôleurs d’organiser leur temps de travail et leurs rotations et les mènerait à ne travailler que la moitié du temps réglementaire. Ils doivent en effet être à leur poste vingt-quatre heures par semaine et cent soixante jours par an ; le...
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