Si l’on peut évaluer le capital écologique de sa machine à laver, pourquoi pas celui de l’avion que l’on prend ? C’est une telle idée qui a conduit Flybe à introduire un système de label écologique pour ses appareils. Présenté au salon du Bourget 2007 et illustré par un Q400 de Bombardier arborant une livrée spéciale, celui-ci consiste à fournir aux passagers, lors de leur réservation par Internet, un rapport sur les performances environnementales de l’appareil dans lequel ils vont embarquer.
Celles-ci sont divisées en trois types d’effets sur l’environnement. Le premier concerne celui sur l’environnement local, près des aéroports. Dans ce cadre sont évalués le bruit, les émissions de CO2 au décollage, à l’atterrissage et pendant le roulage, ainsi que celles de NOx.
Le deuxième type d’effets est celui sur l’ensemble du voyage et concerne l’impact environnemental global. Il se concentre davantage sur la consommation de carburant...
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