Le directeur de l’agence européenne pour la sécurité aérienne (EASA) a indiqué que l’EASA « considérait que la situation [de Boeing] était revenue sous contrôle.
Bien que ne pouvant pas exercer de supervision directe de l’avionneur puisqu’il dépend de la FAA, l’EASA a des échanges très réguliers avec l’agence américaine et a accès aux dossiers, aux mesures et au suivi des mesures qui ont été mises en place par Boeing pour améliorer son contrôle qualité.
Ainsi, le premier plan d’action, lancé après l’incident grave du 5 janvier, a déjà permis la prise de mesures jugées pertinentes par l’EASA, qui ont bien été prises en compte par Boeing. Un deuxième plan d’action devrait être présenté fin mai.
« La situation est en train de se stabiliser, de s’améliorer », assure Florian Guillermet, en ajoutant que le « maintien de confiance avec la FAA, basé sur l’échange réciproque d’informations » fonctionne.
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