Douche froide pour les employés d’Air India. Le consortium de travailleurs qui a exprimé son intérêt pour le rachat du transporteur endetté a vu sa candidature invalidée par le cabinet Ernst & Young, le conseiller en transactions du gouvernement sur la vente, rapporte la presse locale.
La candidature présentait plusieurs lacunes règlementaires comme « la non-soumission des états financiers vérifiés requis sur trois ans pour les membres étrangers du consortium ».
Le retrait du consortium, qui avait reçu le soutien de l’entrepreneur indien basé aux États-Unis Laxmi Prasad et de son fonds Interups Inc., semble désormais laisser Tata Sons comme un favori pour le rachat Air India.
Ces derniers jours, plusieurs médias économiques locaux ont avancé que Spicejet et le « magnat du redressement » Pawan Ruia auraient également exprimé leur intérêt.