Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ces 20 premiers mois de crise liés à la pandémie n'ont pas encore accéléré le processus de démantèlement d'avions commerciaux. Les arbitrages entre stockage longue durée et désassemblage ont pour l'instant plutôt penché en faveur de la préservation des actifs des propriétaires.
On assiste bien depuis quelque temps à des exceptions, à l'instar des deux Airbus A380 (MSN 19 et 21) et du Boeing 777-200ER (LN 406) de Singapore Airlines remorqués début octobre à Changi Exhibition Centre, ou ce tient habituellement le salon aéronautique de Singapour. Les trois appareils seront désassemblés sur place au cours des prochains mois, lançant de fait une toute nouvelle activité dédiée au démantèlement d'appareils sur le sol singapourien, une première pour SIAEC, la division MRO de Singapore Arline. Mais il s'agit pour l'instant d'une opportunité dictée par un besoin de libération de place à Changi, plus...
Il vous reste
88%
de l'article à lire
L'accès à la totalité de cet article est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d'un porte-monnaie (crédits actu).
Cette sélection d'actualités est issue de la rubrique ALERTAVIA. Les abonnés du Journal de l'Aviation ont accès à un nombre beaucoup plus important d'actualités chaque jour. Pour en savoir plus, découvrez nos différentes formules d'abonnement.