Le cadre règlementaire devant conduire à la nationalisation de Kenya Airways divise les parties. Le Parlement a retardé l'étude du projet de loi relatif, arguant que celui-ci n'avait pas suffisamment pris en compte les avis du public, tel que stipulé par la Constitution.
Puis ce fut au tour du barreau kenyan (Law Society of Kenya - LSK) de monter au créneau. Son président, Nelson Havi, a exigé le retrait de ce projet de loi qui comporte « des problèmes juridiques importants ». Il soulève douze questions fondamentales, notamment la violation potentielle du droit de la concurrence, l'absence d'une étude de faisabilité, la mauvaise gouvernance et les pratiques de corruption ainsi que l'inefficacité des entreprises publiques.
Il craint davantage que ce processus ne siphonne les caisses du trésor public, l'Etat devenant de fait le garant des créances du transporteur lourdement déficitaire et endetté.
Enclenché en juillet...
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