A une époque où une crise comme celle d'aujourd'hui et surtout ses implications relevaient de la science fiction, Airbus a voulu évaluer les possibilités d'une application accrue des technologies autonomes à l'aviation. C'est ainsi qu'est né le projet de démonstrateur ATTOL (Autonomous Taxi, Take-Off and Landing). Après un programme d'essais en vol automatiques qui s'est étendu sur deux ans et a accumulé plus de 500 vols, le projet a été conclu avec succès le 29 juin.
En l'achevant, Airbus annonce avoir réussi à rendre autonomes le roulage, le décollage et l'atterrissage d'un avion commercial - en l'occurrence un A350-1000 -, sans recourir à l'aide des instruments en aéroport ou des satellites. « De nombreux avions sont déjà capables d'atterrir automatiquement, mais ils dépendent d'infrastructures externes comme l'ILS ou les signaux GPS. ATTOL vise à rendre cela possible en utilisant uniquement la technologie embarquée », expliquait Sébastien Giuliano, chef du...
Il vous reste
70%
de l'article à lire
L'accès à la totalité de cet article est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d'un porte-monnaie (crédits actu).
50 millions de passagers pour Volotea
Après onze ans d'existence, Volotea vient de franchir le cap symbolique des 50 millions de passagers transportés.
« Nous sommes particulièrement ...
IL Y A 18 HEURES
Norse Atlantic décolle de Paris
Norse Atlantic Airways est désormais opérationnelle au départ de la France. La compagnie norvégienne a réalisé sa première liaison entre ...
IL Y A 18 HEURES
Emirates étoffe sa flotte de formation
Le centre de formation de pilotes d'Emirates a passé une commande auprès de Diamond Aircraft pour trois DA42-VI et le ...
Cette sélection d'actualités est issue de la rubrique ALERTAVIA. Les abonnés du Journal de l'Aviation ont accès à un nombre beaucoup plus important d'actualités chaque jour. Pour en savoir plus, découvrez nos différentes formules d'abonnement.