Le périmètre de Bombardier n'en finit plus de se resserrer. Après avoir vendu ses programmes d'avions commerciaux et de bombardiers d'eau, le groupe canadien se déleste désormais d'une large partie de ses activités d'aérostructures et de maintenance associées comme annoncé en mai dernier. Et c'est Spirit AeroSystems qui emporte la mise. Bombardier a ainsi annoncé, le 31 octobre, qu'il avait signé une entente définitive avec l'équipementier américain. Cet accord concerne les sites de Belfast (Royaume-Uni), de Casablanca (Maroc) et Dallas (États-Unis). La conclusion de la transaction est attendue au premier semestre 2020.
Il s'agit d'une « étape de plus dans la création d'une société d'aviation efficace et solide », s'est félicité Alain Bellemare, PDG du groupe. Il va ainsi se recentrer encore davantage sur les activités d'avions d'affaires et de trains. Bombardier va tout de même conserver une activité d'aérostructures limitée à ses installations nord-américaines, à Montréal...
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