Le bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) a été visé par une perquisition à la demande des juges parisiens chargés d'enquêter sur le crash d'un avion d'EgyptAir qui avait fait 66 morts dont 15 Français en mai 2016, a indiqué mardi l'autorité française chargée de la sécurité de l'aviation civile. Le BEA, dont le siège est situé au Bourget (Seine-Saint-Denis), a confirmé à l'AFP cette perquisition réalisée en septembre et révélée mardi par Le Parisien, sans faire d'autre commentaire.Selon une source proche du dossier, cette perquisition a été menée par les gendarmes, à la demande des trois juges d'instruction du pôle accidents collectifs du tribunal de Paris.Cette opération visait à récupérer les données des boîtes noires de l'Airbus A320 d'EgyptAir qui ont été extraites par le BEA pour le compte de ses homologues égyptiens.Le contenu des boîtes noires n'avait jusqu'alors pas pu être remis aux autorités judiciaires françaises, le BEA...
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