C'est aussi l'un des dossiers qui va occuper Ben Smith dans les prochains mois, un dossier éminemment lié au destin du groupe franco-néerlandais sur le court et moyen-courrier. Le nouveau directeur général d'Air France-KLM va en effet devoir se prononcer sur le remplacement des flottes continentales des différentes compagnies du groupe, un processus lancé par son prédécesseur Jean-Marc Janaillac au début de l'année et qui concerne évidemment les quatre grands avionneurs mondiaux, à savoir Airbus, Boeing, Bombardier et Embraer.
Il s'agit grosso modo de remplacer progressivement les flottes de monocouloirs d'Air France (famille A320), de KLM (737NG), de Transavia Holland et Transavia France (737NG) et de HOP! (CRJ et E-Jets) d'ici 2025. Un minimum de 150 appareils est donc concerné, et plus du double si l'on prend également en compte les appareils les plus récents. Mais ce processus pourrait aussi être un moyen d'affirmer une réelle ambition pour...
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