Après la récente vente d'anciens Mirage F1 à la société américaine ATAC, spécialisée dans la fourniture d'aéronefs « plastrons » pour les besoins d'entraînement et de formation de l'armée américaine, la France se sépare à nouveau d'une partie de ses avions dédiés à la reconnaissance, retirés du service actif en juin 2014 et parqués depuis sur l'EAR 279 de Châteaudun.
La société sud-africaine Paramount Group a ainsi acquis, par le biais de sa filiale Paramount Aerospace Systems, quatre Mirage F1 biplaces de l'armée de l'air. Avec une demande de capacités de formation et d'entraînement « en hausse », Paramount complète ainsi sa flotte de Mirage F1, acquis précédemment auprès de la South African Air Force. La filiale indique par ailleurs être en mesure d'effectuer d'éventuelles modifications et rénovations de l'avionique et des systèmes de mission.
Une seconde vie qui permettra aux Mirage F1 de voler encore...
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