Suite à l'accident survenu fin juillet au Mali et ayant coûté la vie à un équipage allemand de Tigre (voir Un Tigre de la MINUSMA s'écrase au Mali), Airbus Helicopters avait transmis une note aux clients de l'hélicoptère d'attaque concernant des « conditions potentiellement risquées de navigabilité », dans l'attente des premières conclusions sur les causes de la chute brutale de l'aéronef.
Si l'Australie et l'Allemagne ont décidé de clouer leurs flottes au sol et que l'Espagne aurait fait de même, la France a quant à elle décidé de ne pas arrêter complètement l'activité des Tigre. Selon nos informations, l'Aviation légère de l'armée de terre a ainsi « pris des mesures pour limiter ses vols, sans prononcer d'arrêt complet » de la flotte, « compte tenu de ses engagements opérationnels », sans plus de précisions à l'heure actuelle. L'armée de terre précise qu'il n'y a « pour l'instant pas...
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