L'assemblée générale de l'IATA s'est ouverte en des temps mouvementés pour le transport aérien. Alors qu'il est agité depuis mars par le PED ban (Portable Electronic Device), deux nouveaux thèmes se sont invités dans les conversations des industriels réunis à Cancun le 5 juin : la fermeture du ciel de l'Arabie Saoudite, des Emirats Arabes Unis, de Bahreïn et de l'Egypte à Qatar Airways et la décision des Etats-Unis de privatiser son système de contrôle aérien. Le genre d'événements qui doivent entrer dans la catégorie des perturbateurs imprévisibles qui peuvent avoir un impact sur la rentabilité de l'industrie.
Mais pour le moment et même en tenant compte du PED ban, les perspectives se sont améliorées par rapport à ce qui était prévu au début de l'année. Evoluant dans un environnement solide et alors que « le cargo se réveille d'un coma de six ans », les compagnies membres devrait...
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