En substance le groupe Le Piston Français s’est constitué progressivement à partir de la création et l’acquisition de plusieurs entreprises qui ont été fédérées en 2009 sous la marque Groupe LPF. Car il n’est plus question d’usinage de piston, le groupe se consacre en totalité à l’usinage et l’assemblage de pièces d’avions, d’hélicoptères, de moteurs ou d’équipements avec, dans certains cas, l’assemblage de sous-ensembles.
Sous la houlette de Thomas Corbel, le groupe est devenu ce qu’on appelle une ETI, une entreprise de taille intermédiaire qui compte 570 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 73 millions d’euros.
Comment cette entreprise fait face à la demande de ses clients en termes d’augmentation des cadences de production, notamment sur son site de Savigny-le-Temple en Seine-et-Marne ? C’est ce qu’était venu comprendre Claude Bartolone, certes président de l’Assemblée nationale, mais surtout en tant que candidat à l’élection régionale...
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