Cela ne va pas faire l’affaire de fabricants de fixation. Car depuis maintenant plusieurs mois, tout le monde parle de la fabrication additive, ou fabrication 3D. Il s’agit d’élaborer des pièces, qu’elles soient en composites ou métalliques couche par couche, et d’obtenir à partir d’un fichier de définition informatique de type Catia une pièce qui puisse se substituer à une autre qui aurait été soit obtenue par nappage (pour le composite) ou par usinage dans la masse par exemple pour le métallique.
Tout cela est fort bien. Mais pour optimiser au mieux la technologie, il faut pouvoir repenser le produit en question et revoir sa définition de A à Z. C’est en partant de ce principe que la société d’ingénierie toulousaine Sogeclair a décidé de se lancer dans cette voie de la 3D, mais en faisant l’acquisition d’une machine qui lui permette de valider ses projets. Car pour les...
Il vous reste
85%
de l'article à lire
L'accès à la totalité de cet article est réservé aux abonnés.