Chez easyJet, le sujet de la discorde se trouve au niveau de l’éventuel achat d’appareils neufs : le fondateur de la low-cost, Sir Stelios Haji-Ioannou, a fait savoir que, dans le cas où la direction du transporteur déciderait d’acquérir de nouveaux appareils, il vendrait ses parts (37%) détenues dans le capital d’easyJet.
En guise d’avertissement, le fondateur de la compagnie en 1995 a vendu 200 000 actions d’easyJet la semaine dernière en ajoutant qu’il s’agissait « d’un message clair adressé à la direction ». Depuis 2008, Sir Stelios Haji-Ioannou manifeste son mécontentement vis-à-vis du modèle d’expansion de sa compagnie. « La seule raison pour laquelle les bénéfices ont continué à grimper est que le client moyen paye maintenant 33 % de plus qu'il y a quatre ans. Il reste encore une préoccupation prioritaire qui pourrait gâcher cette réussite financière : une autre commande d'avions » a-t-il expliqué auprès de...
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