Selon la radio autrichienne Ö1, qui cite les paroles du ministre de la Défense Norbert Darabos, l’Autriche serait susceptible de réclamer des dommages et intérêts, voire d’annuler le contrat, si les soupçons de fraude et de corruption se confirmaient.
Il attend toutefois les conclusions de l’enquête avant de lancer une quelconque procédure, mais affirme que l’annulation du contrat est une option à ne pas négliger et à étudier.
Des perquisitions ont eu lieu la semaine dernière, notamment chez EADS et au siège du consortium Eurofighter, ainsi que chez des hommes d’affaires, soupçonnés de pots-de-vin et d’avoir fait transiter des fonds à travers des sociétés-écran.
Le contrat des Eurofighter, signé en 2003, fait l’objet d’enquêtes et de polémiques depuis....
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