L’ouverture du Salon aéronautique de Berlin mardi 11 septembre est l’occasion de remettre la question de l’ETS sur la table.
Alors que Bruxelles impose depuis le 1er janvier 2012 à toutes les compagnies aériennes traversant le ciel de l’UE de s’acquitter d’une taxe carbone équivalente à 15% de leurs émissions en CO2, plusieurs états, tels que la Chine, se montrent fermement réfractaires à la nouvelle loi.
Le constructeur Airbus est en première ligne face au mécontentement des opposants de l’ETS. L’avionneur européen subit en effet les menaces de rétorsion de la Chine, qui refuse depuis plusieurs mois de valider les commandes passées par les transporteurs de son pays.
Plus tempérés que l’Union européenne, les ministres européens ne rejettent pas un système de taxation, mais dénigrent le fait que ce dernier soit imposé de manière générale étant donné les enjeux actuels.
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