Accident du Concorde : un témoin remet la thèse officielle en cause
03 MAI 2012 | Sarah El Caïdi | 330 mots
Un ancien commandant de bord d’Air France est allé à l’encontre de la thèse officielle du crash du Concorde mercredi 2 mai au procès en appel de Continental Airlines pour l'accident du supersonique d'Air France en 2000.
Depuis 12 ans, l’histoire n’est toujours pas close : En première instance, en 2010, le tribunal correctionnel de Pontoise avait jugé que la lamelle métallique perdue par un DC10 de Continental Airlines sur la piste de décollage du Concorde était responsable de l’accident qui a fait 113 morts le 25 juillet 2000 à Gonesse. Cet incident avait été considéré comme responsable de l’éclatement d’un pneu du Concorde qui a ensuite perforé le réservoir et entraîné l'inflammation du kérosène.
Faisant partie des témoins cités par Continental Airlines, Jean-Claude Samoyault, ancien commandant de bord d’Air France, se trouvait en attente de décollage de Roissy pour Boston au moment des faits.
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