L'annulation de la convention annuelle de la NBAA en octobre est assurément un nouveau coup dur pour le secteur de l'aviation d'affaires qui, comme l'aviation commerciale, n'a évidemment pas été épargné par la pandémie depuis ces quatre longs mois. Le grand événement d'Orlando devait d'ailleurs être un moment fort pour Dassault Aviation avec le lancement de son « nouveau Falcon », un appareil en gestation depuis plusieurs années. Pas sûr que le moment fût de toutes les façons opportun et ce ne sera évidemment que partie remise.
Car le marché des jets d'affaires neufs est pour l'instant complètement assommé, même si des signes encourageants sont logiquement en train d'apparaître progressivement sur le segment des vols charters, portés par la réouverture des frontières, par la raréfaction de l'offre et par les mesures sanitaires rédhibitoires qui semblent lester le redémarrage de l'aviation commerciale.
Le coup porté aux avionneurs...
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