Elles le répètent depuis plusieurs semaines : les compagnies aériennes ne sont pas favorables à pérenniser cette mesure qui consiste à laisser le siège du milieu vacant. L'IATA vient d'expliquer pourquoi plus en détail. Car si l'association a déjà tiré la sonnette d'alarme à l'encontre de cette idée en indiquant que cela pourrait aboutir à une hausse de 50% des tarifs des billets, elle s'appuie désormais sur des études plus précises pour mesurer son impact économique selon les régions et la limite de son efficacité sur le plan sanitaire.
Brian Pearce explique que, lors des précédentes crises, il avait suffi de baisser les prix des billets pendant quelques temps pour stimuler la reprise de la demande. Dans le cas de la crise liée à la pandémie de covid-19, cette recette peut en théorie être applicable car la demande risque d'être toujours très faible lorsque les frontières rouvriront, la surcapacité...
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