Etihad avait fait savoir qu'elle était en difficultés et l'annonce d'une réduction des effectifs suivie de celle du départ de James Hogan du poste de CEO avait laissé entendre qu'elles n'étaient pas minces. Il s'agit en effet de 1,87 milliard de dollars. De pertes. Le groupe souligne que son activité principale, le transport de passagers, a réussi à se maintenir malgré le ralentissement économique et la surcapacité. Il a en revanche fortement pâti de la dépréciation de sa flotte (une baisse des valeurs du marché associée au retrait anticipé de certains types d'avion), de certaines participations et de ses couvertures carburant.
La dépréciation des appareils a notamment pesé pour plus d'un milliard de dollars dans la balance. Le groupe estime également que certains de ses actifs et risques financiers avec les partenaires lui ont valu 808 millions de dollars de pertes, notamment Air Berlin et Alitalia, deux compagnies qu'Etihad...
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