Bold Quest 2015, un exercice d'identification et d'appui aérien interallié et interarmées. Alors qu'un A-10 et un AC-130 se partagent le ciel et préparent une attaque combinée à l'aide de leurs canons, un JTAC français participe à la manoeuvre... depuis un simulateur au Centre de formation à l'appui aérien (CFAA) de la BA 133 de Nancy-Ochey, tout comme l'équipage du Warthog, tandis que celui du gunship opère depuis la base de Hurlburt, en Floride. Cette manoeuvre a été rendue possible par la connexion des simulateurs entre eux, afin d'offrir un entraînement « plus vrai que nature » à des personnels éloignés de plusieurs milliers de kilomètres.
L'objectif de cette simulation distribuée était « de montrer qu'entre deux sites délocalisés et des personnes qui ne se connaissent pas, les protocoles et les procédures standardisés permettent de travailler de manière très facile une fois que les deux simulateurs sont connectés...
Il vous reste
92%
de l'article à lire
L'accès à la totalité de cet article est réservé aux abonnés.