Interpol a émis mardi des doutes sur la piste terroriste dans l'enquête sur la disparition du Boeing malaisien et annoncé que deux passagers détenteurs de passeports volés à des ressortissants italien et autrichien avaient utilisé des passeports iraniens dans un vol précédent. Le Boeing 777 de la compagnie Malaysia Airlines a disparu des écrans radars samedi une heure environ après son décollage de la capitale malaisienne à destination de Pékin. Il avait à son bord 239 personnes, dont quatre Français. "Plus nous recevons d'informations, plus nous sommes enclins à conclure que ce n'est pas un incident terroriste", a dit lors d'une conférence de presse le secrétaire général de l'organisation de coopération policière basée à Lyon, Ronald K. Noble. Selon lui, deux détenteurs de passeports iraniens utilisés pour un vol entre Doha et Kuala Lumpur ont ensuite utilisé des passeports volés à des ressortissants italien et autrichien en 2012 et 2013...
Il vous reste
83%
de l'article à lire
L'accès à la totalité de cet article est réservé aux abonnés.